AU FIL DE MES PENSEES

      Bonjour.

      En ce dimanche de mai tout tristounet, je vous propose quelques images d'une belle journée de mars (2012), où nous avions décidé de profiter du beau temps pour faire une petite ballade en famille. Ca se passe à l'étang d'Ecluzelles (28).

           Voilà, j'espère avoir réussi a vous aérer un petit peu l'esprit. Vous remarquerez que je vous ai épargné les portraits de famille ;-)

            Pour ce qui est de la pensée du jour, je dirais qu'il n'est pas toujours nécessaire d'aller bien loin pour voir de beau paysage. En effet, avec cette météo si capricieuse qui nous accompagne en ce moment, c'est le moment de profiter des quelques éclaircies pour mettre le nez dehors et apprecier c'est lieux qui parfois sont à moins d'une heure de chez nous: du coup, même si ce n'est que pour un après midi, ça fait un bien fou!

        Bonsoir a tout ce qui, peut être, me liront ce soir. Eh bien commençons par l'humeur du moment: quel temps pou-bip-!!! Ba oui, c'est comme dans les conversations qu'on essaie de lancer avec des personnes que l'on connait à peine, on parle de la pluie et du beau temps (et hélas par chez moi, ça sera la pluie).

       Mais où est-il ce "joli de mois de mai", celui où l'on est censé mettre ce qu'il nous plait,...blablabla... J'entend déjà d'ici les écolos crier victoire pour nos nappes fréatiques: oui, c'est vrai, moi-même je me le répète en regardant glisser les gouttes d'eau sur mes vitres, sur mon parapluie, sur mes lunettes (grrrrr). Et puis les cultivateurs, les jardiniers,... Ok, ok, mais voilà, parfois, excuser mon egoïsme, J'EN AI MARRE!!! Je veux du soleil, je veux mettre mes spartiates à talons, mes chemisiés colorés, mes pantalons en lin; je veux ranger pour de bon les bottines, les chaussettes, les pulls et les écharpes.

       Sinon, à part cela? Il faut le reconnaître, ça va plutôt bien: pas de soucis perso insurmontables, un mois de mai garnis de jour férié (même si dans mon métier on ne fait pas les ponts), et malgrès tout l'été qui approche (faut pas perdre espoir). Donc, comme l'un de mes collègues me l'a fait remarquer il ya peu: si l'on me demandait, là, maintenant, comment je me sens au moment présent, je doit le reconnaitre, en toute sincérité, JE ME SENS BIEN. Depuis qu'il m'a parlé de ce passage du livre qu'il était entrain de lire, je me fais souvent cette réflexion, c' est d'ailleurs devenu une petite réplique humouristique entre nous, hisoire de faire baisser la pression quand la moutarde monte au nez.

      Voilà, ce premier message aura aboutit sur ma pensée philosophique du moment. Cela paraîtra peut être un peu pompeux pour certains, mais essayez, posez vous la question quand vous sentez monter la pression, le stress du quotidien ( un(e) collègue qui vous agace, des courbatures, le soucis du repas du soir,...) et vous verrez qu'en général, ça ne va pas si mal.

      J'espère vous avoir communiquez un peu de mon obtimisme du moment. Bonne soirée et bonne nuit à tous, à bientôt.